Brunch d’équinoxe

Sous le signe de la sieste acoustique

Tarifs
50.- Sans Pass | 40.- Pass Forum, Pass Éco, Pass Jeune

Réservation indispensable jusqu’au 13 mars
Inscriptions au +41 22 989 34 34 ou billetterie@forum-meyrin.ch

Un brunch d’équinoxe sous le signe de la sieste acoustique

Certes, il faut aimer la sieste… et l’idée de la faire à plusieurs! Celle que nous vous proposons sera agrémentée de musique acoustique et servie sur un plateau – oui, le plateau du théâtre – où seront disposés des matelas – oui, des matelas pour s’étendre. Libre à vous d’emmener coussins et doudous; l’idée, on l’aura compris, c’est que vous soyez confortablement installés pour glisser, si l’envie se présentait, tout doucement dans le sommeil.

Quelques musiciens seront là, voix, guitares, flûtes, un tambourin peut-être, réunis comme dans une chanson de Maxime Le Forestier. On se croira dans la fameuse maison bleue, adossée à la colline et on écoutera Tom à la guitare, Phil à la kena… pas jusqu’à la nuit noire, parce que, tout de même, n’exagérons rien, c’est juste une sieste. Une idée géniale de Bastien Lallemant, qu’on a testée pour vous et tellement savourée qu’on vous la ressert en version «équinoxe», c’est-à-dire avec un repas à partager avec le personnel du théâtre et les artistes.

On récapitule? Pour célébrer le printemps, l’équipe du TFM vous invite à un brunch, précédé ou suivi d’une sieste en musique. L’horaire du brunch est fixe, ce sera midi. L’heure de la sieste est laissée à vos habitudes: fin de matinée si vous l’aimez apéritive, ou début d’après-midi si vous la préférez digestive.

La composition du brunch, comme celle du programme musical qui accompagnera la sieste, sont des surprises. Agréables.

« Le week-end, depuis sept ans déjà, Bastien Lallemant nous propose un joli moment de farniente sous forme de sieste. Le public est bercé de chansons ou de petites histoires et, au centre de l’animation, on retrouve le chanteur entouré de prestigieux invités, pour une heure d’improvisations autour du répertoire et des écrits de chacun. On prend son oreiller sous le bras, et on y va. » Télérama