Vies de Papier

La Bande Passante

DURÉE 1h20
TARIF C
Plein 25 / 20 | Réduit 20 / 15 | Mini 15
Pass Forum 15 | Pass Éco 15 | Pass Famille 10

Créer un spectacle à partir d'un album de famille trouvé dans un vide-greniers: tel est le pari insensé de Benoît Faivre et Tommy Laszlo. Les deux compères décident de mener l'enquête. Il sera question du passé, des événements, mais surtout des traces émouvantes que laissent en nous les photographies. Vies de papier est un objet rare, original et désarmant de tendresse et de sincérité.

Un passé aux couleurs sépia

L’histoire commence à Bruxelles, dans une brocante. Au hasard de leurs pérégrinations, Benoît Faivre et Tommy Laszlo tombent sur un album de photos de famille richement décoré, en parfait état. Les clichés retracent la vie d’une femme allemande, née en 1933, que l’on suit d’image en image depuis sa naissance jusqu’à son mariage en Belgique.

Qui est Christa? Pourquoi nos deux artistes se sentent-ils intimement reliés à cet album? Par quel tour du destin ces images viennent-elles ressusciter des fragments de leur propre histoire? C’est le début d’une vaste enquête qui les amène à sillonner l’Europe pour rencontrer des membres de la famille de Christa. En route, ils en viendront à questionner les anciens de leur propre famille, puis des historiens de la Seconde Guerre mondiale, et finalement des experts en généalogie.

Sur le plateau, les deux compères reconstituent les étapes de leur investigation, jouant leur propre rôle et manipulant à vue les images sorties de l’album, des cartes de géographie et des vidéos relatant leur périple. Impossible de ne pas se laisser prendre au jeu de cette enquête qui entremêle sans grandiloquence l’histoire intime et l’autre, celle qui passe avec sa grande hache.

Direction artistique et interprétation Benoît Faivre, Tommy Laszlo
Écriture Benoît Faivre, Kathleen Fortin, Pauline Jardel, Tommy Laszlo
Regard extérieur Kathleen Fortin
Prises de vues Pauline Jardel
Création musicale Gabriel Fabing
Création lumières Marie-Jeanne Assayag-Lion
Costumes Daniel Trento
Construction Marie Jeanne Assayag-Lion, Olivier Gaille, David Gallaire, Thierry Mathieu, Daniel Trento
Régie Marie-Jeanne Assayag-Lion ou Charline Dereims
Direction de production Claire Girod assistée de Aurélie Burgun
Direction technique Martin Descourvières

Coproduction MarionNEttes, festival international de Neuchâtel (CH); CCAM, Scène nationale de Vandoeuvrelès-Nancy; Le Carreau, Scène nationale de Forbach et de l’Est mosellan; La Méridienne, Scène conventionnée de Lunéville; Espace Jéliote, Scène conventionnée marionnette d’Oloron-Sainte-Marie; Le Sablier, Pôle des arts de la marionnette en Normandie – Ifs/Dives-sur-Mer; TGP, Scène conventionnée de Frouard; Mil Tamm, projet culturel du Pays de Pontivy; T-Werk Potsdam; Moselle Arts Vivants; La Ville de Metz; Metz Métropole; La Ville de Bruxelles.
Pré-achats Le Mouffetard, Théâtre de la marionnette à Paris; L’Arc, Scène nationale du Creusot; Festival Perspectives de Sarrebruck.
Soutiens Le texte est lauréat de la Commission nationale d’aide à la création de textes dramatiques – ARTCENA / mention dramaturgies plurielles. Ce projet a reçu l’aide à la production dramatique de la DRAC Grand Est et l’aide à la résidence DRAC Grand Est / Agence culturelle d’Alsace.

L’équipe artistique est soutenue par la Région Grand Est pour la période 2017-2019.
La compagnie est conventionnée avec la Ville de Metz.
La compagnie est associée au Carreau, Scène Nationale de Forbach et de l’Est Mosellan pour la saison 2019-2020.

«Suspens, humour et poésie ponctuent agréablement ce spectacle étonnant. La Bande Passante met en scène dans Vies de Papier une réalité qui rattrape et dépasse la fiction, c’est puissant!»
Paula Gomez, Théâtre Actu

«Un théâtre d'objets gracieux et délicat, alimenté par une enquête soigneuse sur sa vie et ses origines.»
Elisabeth Franck-Dumas, Libération 

«Manipulation de photos, théâtre traditionnel de papier, vidéos et théâtre ne s’opposent jamais. Au contraire, ils convergent d’une manière harmonieuse qui suggère la possibilité de refermer les blessures de l’Histoire.»
Anaïs Heluin, Sceneweb