Saison de cirque

Cirque Aïtal

SPECTACLE SOUS CHAPITEAU - PARKING DU CENTRE SPORTIF DES VERGERS

> Plan d'accès

Spectacle tous publics dès 6 ans

DURÉE 1h20

TARIF B
Plein 40 | Réduit 35 | Mini 15
Pass Forum 15 | Pass Éco 15
Placement libre

Accueil réalisé en collaboration avec le Service culturel Migros Genève

 

Victor et Kati, fondateurs du Cirque Aïtal, reviennent avec une troupe élargie par un jongleur, un voltigeur, un quatuor d’acrobates et quatre musiciens. En quête constante d’émotions, la troupe nous entraîne dans les coulisses de leurs vies itinérantes rythmées de répétitions, ratages et souffrances aussi.

Une ode à l’itinérance

Nous les avions quittés en couple dans Pour le meilleur et pour le pire, champions du duo main à main; nous retrouvons Victor et Kati, six ans et deux enfants plus tard, sous les étoiles d’un nouveau chapiteau encore plus beau qu’avant. Dans la famille élargie du Cirque Aïtal évoluent désormais un jongleur finlandais, un voltigeur équestre et un quatuor d’acrobates venus de Sibérie orientale, tandis que quatre musiciens mènent la farandole, poussant parfois jusqu’au paroxysme l’intensité comique ou dramatique des numéros qui s’enchaînent à toute allure.

Au milieu de tout ce petit monde, Victor endosse le rôle du clown, toujours conscient d’être regardé, donc en lien constant avec le public, tandis que Kati campe un personnage à mi-chemin entre le clown blanc traditionnel et Gelsomina, l’héroïne de La Strada de Fellini. En quête d’émotions plus que de prouesses, la troupe entonne une ode à l’itinérance et à la vie de cirque, à ses coulisses, ses répétitions, ses ratages, ses souffrances aussi. En abandonnant leur duo, Victor et Kati auraient pu perdre la grâce qui les a rendus célèbres. C’est tout le contraire qui se produit. Avec une modestie qui les honore, ils éprouvent au contact d’artistes venus d’horizons différents la solidité d’une technique entièrement dédiée à un univers poétique bien à eux, dont la magie reste intacte. Et l’on se fiche pas mal de savoir s’ils sont traditionnels ou contemporains. D’ailleurs, si l’on veut bien s’en remettre à la pure logique,leur cirque est d’aujourd’hui. Point.

Conception Victor Cathala, Kati Pikkarainen
Avec Victor Cathala, Kati Pikkarainen, Lena Kanakova, Mikhail Kanakov, Vasilii Kanakov, Sergey Mazurin, Matias Salmenaho, Ludovic Baladin
Musiciens Helmut Nünning, Hugo Piris, Benni Masuch, Julien Heurtel
Chevaux Quercy, Timo
Collaboration artistique Michel Cerda, Maksim Komaro
Composition musicale Helmut Nünning, Hugo Piris, Benjamin Masuch, Julien Heurtel
Création sonore Andy Neresheimer
Création costumes Séverine Thiébault
Création lumières Patrick Cathala
Direction technique, régie générale Bernard Bonin
Régie lumières Thierry Azoulay
Régie son Fanny Hugo
Régie plateau Alexandre Tourneux, Allan Wyon
Aménagement scénographique Alexander Bügel

Administration de production Bérangère Gros
Chargée de production Lison Cautain
Production Cirque Aïtal
Co-production Agora, Centre Culturel Pôle National des Arts du Cirque Boulazac Aquitaine – Archaos, Pôle National des Arts du Cirque Méditérranée – Carré magique Lannion Trégor, Pôle National des Arts du Cirque en Bretagne – Châteauvallon, Scène nationale – CIRCa, Pôle National Cirque Auch Gers 0ccitanie – Le Parvis, scène nationale de Tarbes – Les Nuits de Fourvière, Lyon – Théâtre Firmin Gémier/La Piscine, Pôle National des Arts du Cirque d’Antony et Châtenay-Malabry
Avec le soutien de la SPEDIDAM

Projet bénéficiaire du projet de coopération transfrontalière PYRENART, dans le cadre du programme Interreg V-A Espagne-France-Andorre POCTEFA 2014-2020 – Fonds Européen de Développement régional (FEDER).

«De manière moderne, ils apportent une ode à la vie de cirque d'antan, à l'itinérance, au montage du chapiteau et à l'odeur de la piste.»
Het Nieuwsblad

«Tout est jeu. C'est l'une des grandes forces de cette création, rythmée aussi par un quatuor de musiciens qui impulse la folie à ce travail.»
Nadja Pobel, Le Petit Bulletin de Lyon

«Poétique, drôle, inventif, émouvant. Pas capillotracté pour un sou, non. Mais honnête et rudement fidèle à cette fascinante culture.»
Céline Bally, Le Progrès