La Nuit transfigurée

Philippe Saire

Pierre Amoyal et la Camerata de Lausanne

Mercredi 9 et jeudi 10 janvier à 20h30

D’un côté, Philippe Saire, chorégraphe cartographe, de l’autre, Pierre Amoyal, violon solo et fondateur de la Camerata. La beauté, la gravité, la joie et la lumière seront les points forts de cette rencontre entre les oeuvres de deux génies (Schönberg, Vivaldi) et la passion de la découverte de deux artistes.

Durée 55 min environ
Tarif B
Plein 40.-/30.- | Réduit 35.-/25.- | Mini 15.-
avec le Pass Forum 15.-

Ce soir étrange de sommeil
Qui nous conduit dans le soleil
D’ombre étoilée,
Nous ferons somme de langueur
Dans une vague de rumeur,
Transfigurée.
La Nuit transfigurée, Bernard De l’Océan

Ils sont deux piliers de la vie artistique suisse. D’un côté, Philippe Saire, chorégraphe cartographe, l’une des figures de proue de la danse contemporaine en Suisse, un homme dont les spectacles oscillent entre l’ombre et la lumière. De l’autre, Pierre Amoyal, violon solo et fondateur de la Camerata, un ensemble d’instruments à cordes à géométrie variable, fonctionnant sans chef.

Ensemble, ils se sont attaqués à La Nuit transfigurée de Schönberg, pièce romantique aux envolées profondément dramatiques, qu’ils accompagnent d’un Concerto pour deux violons en la mineur de Vivaldi, afin d’amener un contrepoint plus léger en seconde partie. La beauté, la gravité, la joie et la lumière seront les points forts de cette rencontre entre les oeuvres de deux génies et la passion de la découverte de deux artistes.

 

Chorégraphie Philippe Saire
Directeur musical Pierre Amoyal
Musique Camerata de Lausanne
Violon Pierre Amoyal, Irène Abrigo, Yuuki Wong, Hyunsu Kim, Sohei Birmann
Alto Yuko Shimizu, Mari Adachi, Mathieu Lamouroux
Violoncelle Fulvia Mancini, Mary Elliott, Romain Chauvet
Contrebasse Sylvia Minkova
Clavecin Irène Puccia
Assistant à la chorégraphie Philippe Chosson
Chorégraphie en collaboration avec les interprètes Philippe Chosson, Maëlle Desclaux, Pep Garrigues, Benjamin Kahn, Antonio Montanile
Dramaturgie Roberto Fratini Serafide
Scénographie Sylvie Kleiber
Création et régie lumières Laurent Junod
Costumes Isa Boucharlat
Direction technique et régie plateau Yann Serez
Perruques et maquillage Nathalie Monod
Assistante de production Emilie Bobillot

Oeuvres musicales Arnold Schönberg, La Nuit transfigurée (Verklärte Nacht), op.4 en ré mineur / Antonio Vivaldi, Concerto pour deux violons en la mineur, RV 522, solistes:
Pierre Amoyal et Yuuki Wong

Coproduction Cie Philippe Saire, Opéra de Lausanne

La Cie Philippe Saire est soutenue par Ville de Lausanne, Etat de Vaud, Pro Helvetia, Loterie Romande, Fondation de Famille Sandoz, Pour-cent culturel Migros, Fondation Leenaards, Ernst Göhner Stiftung, Fondation Pittet / Société Académique Vaudoise, Artephila Stiftung

La Camerata de Lausanne bénéficie de nombreux soutiens, notamment de la Ville de Lausanne, de la Haute Ecole de Musique de Lausanne, du Canton de Vaud, de la Loterie
Romande et de la Fondation Leenaards.

Partenaires Espace 2 – RTS Radio Télévision suisse, La Terrasse, Sixt

Crédits photos Philippe Weissbrodt

Philippe Saire invente dans cet espace noir une autre possibilité pour la danse d’exister face à La Nuit transfigurée. [...] Mais pour comprendre la complexité de la tourmente et la palette déployée par le chorégraphe, c’est encore et encore que l’on aimerait se replonger dans les affres de cette nuit.
Nathalie Yokel, www.journal-laterrasse.fr, 08.11.2012

Le télescopage de la danse contemporaine et de la musique classique; du baroque et du romantisme; de la nuit et du jour… Autant de triangulations qui créent du sens, des tensions, et dessinent les arêtes d’un diamant noir.
Julien Burri, L'Hebdo, 07.11.2012

Sous la somptueuse création lumière de Laurent Junod qui convoque l’expressionnisme allemand et le ténébreux souvenir des films de Fritz Lang ou de Murnau, les cinq danseurs (Philippe Chosson, Maëlle Desclaux, Pep Garrigues, Benjamin Kahn, Antonio Montanile) évoluent entre confrontation et étreinte. Formant et déformant inlassablement des cercles de tensions autour d’un couple (Philippe Chosson et Maëlle Desclaux) amoureux jusqu’à l’ultime, ils sont en chasse...
Corinne Jaquiéry, Le Courrier, 02.11.2012

© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
© Philippe Weissbrodt
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© Philippe Weissbrodt
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